Les CBDC c’est l’ennemi des peuples

Depuis des temps immémoriaux, les dirigeants n’ont toujours recherché qu’une chose : le contrôle.

Depuis l’arrivée de cet espace de liberté qu’est Bitcoin développée à partir de 2008, la blockchain est, une technologie de stockage et de transmission d’informations. Cette technologie offre de hauts standards de transparence et de sécurité car elle fonctionne sans organe central de contrôle.

Ainsi que les Altcoins, ces cryptos inspirées de Bitcoin, qui se veulent une « alternative » à Bitcoin pour des raisons et cas d’utilisations de différentes technologies Blockchain.

Les cryptomonnaies n’échappent pas aux régulateurs!

Des lois sont écrites, et votées, en Europe c’est la loi MiCa qui domine, qui permettrait un meilleur encadrement autour des crypto-actifs.

Un exemple concret par exemple les exchanges de crypto, c’est à dire ; Les fournisseurs de services de crypto-actifs devront s’enregistrer et fournir des données précises sur leur identité s’ils souhaitent proposer leurs services dans les pays de l’Union Européenne.

Plusieurs règles, initialement pensées pour le secteur de la finance classique, s’appliqueront à ces entreprises, dont notamment la “travel rule”, qui obligera aux entreprises œuvrant dans ce secteur de transmettre des informations sur leurs clients et les transactions à l’institution financière destinataire de ces transactions.

En réaction à la montée fulgurante des cryptos, plusieurs gouvernements, institutions planchent sur la création de leurs propres versions numériques de monnaies traditionnelles, aussi connues sous le nom de CBDC (Central Bank Digital Currency) ou encore l’acronyme MNBC qui signifie Monnaie numérique de banque centrale.

L’ère des CBDC

Cependant, ne l’oublions pas comme l’ont prouvé ces temps immémoriaux a travers l’histoire. Certaines personnes, institutions gouvernementales, administrateurs ont abusé du pouvoir que leur avait conféré le peuple. Il existe d’innombrables cas de gouvernements régionaux, nationaux et nationaux abusant de leur autorité. La numérisation étant devenue une tendance ces dernières années, il est très facile pour les autorités de devenir des dictateurs grâce au contrôle qui plus est numérique.

Les États-Unis ne sont pas les premiers à envisager ce type de projet. Le Kazakhstan, la Thaïlande, la Chine, Hong Kong, les Émirats arabes unis, l’Australie, la Norvège, Singapour, la Malaisie et l’Afrique du Sud travaillent tous à la création de versions numériques de leurs monnaies d’origine.

Aussi la Banque centrale européenne  (BCE), la  Banque d’Angleterre . Des projets expérimentaux ont été lancés par la  Sveriges (suédoise) Riksbank  et la  Banque d’Israël , tandis que des projets pilotes ont été initiés notamment par la  Banque populaire de Chine  (PBOC) et les  Bahamas , qui ont annoncé que leur « Sand Dollar » numérique était déjà en cours de développement. Même le Nigeria a lancé l’E-Naira, qui est déjà utilisé.

Mais vous l’aurez compris, les CBDC ne sont pas des crypto-monnaies et n’offrent pas cet espace de liberté qu’est Bitcoin et une multitudes d’altcoins. Une monnaie numérique dirigée par une banque centrale ne présente pas les avantages fondamentaux d’une crypto-monnaie en ce qui concerne la protection de la vie privée et la décentralisation.

Conscients que leurs activités sont en déclin, les gouvernements font pression pour obtenir une forme d’argent qui les aidera à atteindre différents objectifs géoéconomiques et géopolitiques et où l’espionnage de la population atteindra des niveaux jamais vus auparavant.


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